Aux concepteurs de voies cyclables
À voir le tracé de certaines voies cyclables, ceux qui les conçoivent ne sont pas toujours conscients qu'un cycliste se déplace avec une vitesse de l'ordre de 20 km/h. Ce genre d'aménagement, qui serait impensable pour une route normale :
La mairie de Paris se livre à la contrefaçon !
Il y a en ce moment un chantier dans Paris : la remise en double sens des grands boulevards. La mairie a publié récemment un article indiquant l'avancement de ce projet.
Des clefs USB datalove pour réformer le droit d'auteur
La Quadrature du Net est un groupe européen créé pour défendre les droits et les libertés des citoyens sur Internet contre les attaques permanentes de l'industrie du divertissement de masse, comme par exemple le récent ACTA. La récente victoire citoyenne contre ces monstres est une bonne occasion pour prendre l'initiative et d'appeler à une réforme du système de droit d'auteur, qui est inadapté à l'omniprésence des systèmes basés sur la copie.
Read more Des clefs USB datalove pour réformer le droit d'auteur
Des bibliothèques publiques
Vous connaissez les bibliothèques publiques de prêt, qui permettent aux usagers d'emprunter des livres, de la musique et des flims. Vu l'évolution actuelle de tout ce qui entoure le droit d'auteur, j'ai récemment pensé à ces deux questions à ce sujet :
- Les bibliothèques de prêt sont-elles une bonne chose pour la Culture¹ ?
- Si ces établissements n'existaient pas et que quelqu'un — rêvons un peu, disons un ministre de la Culture — émettait cette idée, les sociétés de gestion de droits d'auteur, les majors et toute leur clique — les moines copistes de DVD — accepteraient-ils ce projet ?
Je vous laisse deviner la question bonus en guise de conclusion…
Du droit des auteurs morts
La récente affaire Hemmingway de Gallimard publie.net est l'occasion de réfléchir au système actuel de droit d'auteur.
Le droit d'auteur définit des droit “patrimoniaux” sur les œuvres de l'esprit, c'est à dire un monopole de l'auteur et de ses ayant-droits sur l'exploitation des œuvres. En clair, seul l'auteur d'une œuvre et ceux qu'il autorise sont autorisés à l'exploiter de quelque façon que ce soit. Ce monopole s'étend de la création de l'œuvre jusqu'à soixante-dix ans après la mort de l'auteur, après quoi l'œuvre s'élève enfin dans le domaine public et peut alors être utilisée librement.